BIOGRAPHIE
Nous saluant de la région maritime de l’est du Canada, Dennis The Prescott a découvert son amour pour la nourriture à Nashville, lorsqu’il y habitait dans l’espoir de percer dans le monde de la musique. Après avoir cuisiné toutes les recettes d’un livre emprunté à la bibliothèque, il a rapidement créé une obsession et décide de se dévouer à la création, la découverte et le partage de saveurs exceptionnelles, à travers ses voyages et sa cuisine. Aujourd’hui, il est l’auteur du livre populaire Eat Delicious et le coanimateur de l’émission sur Netflix Restaurant on the Edge. Il est aussi un partisan du mouvement d’alimentation locale, et sa cuisine est influencée par l’abondance des options de fruits de mer disponible chez lui, près de la côte atlantique.
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Dennis Prescott
FAQ
Entrevue avec Dennis The Prescott
La graisse vers le bas. J’adore la réaction de la graisse sur la cuvette d’égouttage, créant ainsi une fumée des plus divines.
Mes couteaux. L’outil utilisé chaque fois que je cuisine (autre que mon Traeger, bien entendu).
Led Zeppelin. Mon groupe préféré, et la raison pourquoi j’ai voulu devenir un musicien il y a déjà plusieurs années. Si inspirant pour moi.
La cuisine est un cheminement, et le vrai développement se produit par essais et erreurs, vous permettant de faire des erreurs pour avancer. Apprendre quelque chose de nouveau dans la cuisine, chaque fois que vous cuisinez. Mais la meilleure leçon que j’ai apprise est d’être courageux dans la cuisine. De sortir le stress de la cuisine. De toujours se pousser. De se souvenir de s’amuser. Et le plus important, c’est de vraiment aimer nourrir les gens. Il est toujours un honneur de nourrir une table pleine.
En tant que personne très fortunée pour avoir voyagé autour de la planète depuis 10 ans, j’ai vécu plus d’un « facteur peur » autour de la table. La plupart des choses, même si elles semblent inusitées, sont en fait délicieuses - et c’est pourquoi j’adore mettre mon palet au défi et essayer de nouvelles choses. Cela dit, je suis presque certain que la dernière fois que j’ai mangé du loir en Slovénie ou but du vin de pénis de serpent à Hong Kong, ce fut ma première et dernière fois.
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